Crise Climatique — Aperçu
Récemment, j’ai été hanté par le désir de me renseigner sur la crise climatique, ce qui a à son tour alimenté un besoin pour changement immédiat et significatif. J’ai lu des douzaines de livres et réduit mon empreinte carbone ; j’ai été commissaire d’une exposition d’art dont le thème était la Crise Climatique ; j’ai exposé certaines de mes propres œuvres d’art liées à la crise climatique (et reçu une mention honorable). J’aimerais consacrer cette partie de mon site Web à partager mes progrès, mes ressources, mes pensées, mes luttes, etc. [Cette partie du site Web est un travail en cours que je vais travailler au cours des prochaines semaines et que j’ajouterai au fil du temps.]
Dans la sphère d’action purement personnelle, j’ai travaillé à minimiser et à compenser mon empreinte carbone personnelle/familiale. Nous avons la chance d’avoir de l’électricité relativement propre (Hydroquebec) et cet été, nous avons donc décidé de ne plus posséder de véhicules à moteur à combustion interne (ICE). Nous prévoyons d’abandonner le chauffage au gaz naturel au profit du chauffage électrique, et entre-temps, nous réduisons notre consommation de gaz en utilisant autant de chauffage électrique supplémentaire que possible. J’ai été un carnivore enthousiaste, quoique modéré, et un grand consommateur de produits laitiers pendant la majeure partie de ma vie, mais j’en réduit au cours des dernières années, et surtout des derniers mois. Plus récemment, au début à contrecœur, j’ai décidé de ne manger de la viande de mammifère qu’en de rares occasions spéciales, de réduire considérablement ma consommation de poulet, de produits laitiers, d’œufs et de poisson, et de dépendre de sources végétales pour le gros de mes besoins alimentaires. (Même le poisson, j’ai trouvé, est maintenant un choix douteux, entre le carnage monstrueux des populations océaniques et les empreintes de carbone étonnamment élevées de l’aquaculture. Soupir…). J’ai aussi acheté des crédits compensatoires de carbone, pour soutenir des choses comme la cuisine solaire en Afrique et la plantation d’arbres dans les forêts tropicales. Vivant dans un condo, il ne nous est peut-être pas possible d’installer des panneaux solaires, mais nous nous sommes joints à une coopérative locale d’énergie verte pour trouver une forme de participation.
Nous n’en sommes encore qu’aux premiers balbutiements en ce qui concerne l’adoption de mesures sérieuses pour régler le problème à l’échelle mondiale. Dans l’un de mes pays, le gouvernement a annoncé sa décision de permettre l’agrandissement d’un pipeline le lendemain du jour où il a déclaré une urgence climatique, alors que dans un autre, le gouvernement actuel nie simplement qu’il y a même un problème !
Malheureusement, selon la plupart des autres indicateurs, il est vraiment tard. Bien trop tard pour supposer que « quelqu’un d’autre » s’en occupera, qu’il s’agisse de climatologues, d’inventeurs, d’économistes, de gouvernements, etc. Certains font tout ce qu’ils peuvent, et ce n’est pas suffisant ; d’autres en font beaucoup trop peu. A ce stade, je ne vois pas d’autre espoir que celui du plus grand nombre possible d’entre nous, chacun consacrant autant d’efforts que possible à trouver ses propres solutions, jusqu’à ce que la Crise Climatique ne soit plus le principal problème auquel nous sommes confrontés. C’est dans cet esprit que j’essaie de faire ma part pour que plus de gens se joignent à l’effort, à travers mes œuvres d’art et mon site Web. Je travaille également au réinvestissement de nos actifs familiaux dans des fonds socialement responsables, ainsi qu’à des investissements actifs dans les énergies renouvelables. Enfin, j’ai fait des dons à plusieurs organismes à but non lucratif qui travaillent sur le problème.
Traduit avec l’aide de www.DeepL.com/Translator (version gratuite).